Il faut bien mourir un jour (Au printemps si possible. Il y a une belle chanson de CT sur ce thème : je voudrais mourir au printemps), mais je trouve que CT s'est détruit lui-même en grossissant (sur les photos, c'est effrayant) à cause de repas où, selon Pierre Bouteiller de radio-France, il commandait les plats en double... Du coup, pesant au moins un quintal, sur des jambes fragiles, il a préparé le terrain à de nombreux problèmes de santé.
Mal de vivre ? Probablement. Ma thèse est de dire que CT, au contact sulfureux de Albert Bausil, est devenu un génie précoce certes, mais il en a payé le prix fort, malgré les sourires de circonstance.
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