Excellente chanson, que "Mon Opérette" !
Dans les années 80, il semble aussi que le grand Charles ait enregsitré 2
versions de "Sans famille", nettement identifiables après plusieurs
écoutes.
Quelque érudit trenetophile aurait-il un éclaircissement sur ce point?
A bientôt.
nobarge
Posté le 2/11/2005 à 01:56
J'adore cette chanson !
Il y a un petit détail à remarquer:
cette chanson est d'abord sortie en 45t, couplée avec "rien est en place"
après la sortie de l'album "Fidèle" et avent celle de "Joue moi de
l'éléctrophone" (D'ailleurs, on peut se demander si ces deux chansons ne
sont pas issues des sessions de "Fidèle" car car ce sont les seules de
"Joue moi..." arrangées par Cl Bolling, plus fortement présent sur
"Fidèle"...). On peut distinguer avec une écoute attentive que entre le 45t
et l'album, ce ne sont pas les même prises pour "Mon opérette": le son est
un poil moins sourd sur l'album et certaines inflexions de voix sont
différentes...
Avez vous remarquez d'autres détail de ce genre dans l'oeuvre de Trénet?
(ça sert à alimenter l'imagination des fans! lol)
trenetard
Posté le 10/5/2004 à 21:06
Merci, cela me donne l'envie de les réecouter!
pedrodingo
Posté le 9/5/2004 à 23:09
J'aime aussi cette chanson: son côté surréaliste avec des mots de tous les
jours (spécialité trenetienne) et sa musique enlevée.
Quant à l'allusion sur l'homosexualité...oui sans doute.Je n'avais pas
relevé ce détail.
Dans "La folle complainte", l'allusion -me semble-t-il - est plus directe:
"Je n'ai pas su sourire à tel ou tel attrait..."
Et "La flute du maire" , elle est pas grivoise celle-là? ... Encore une
chanson réussie, comme tout cet album de 81. l
Dominic
Posté le 9/5/2004 à 20:15
Devinette ?
Notre ami Summicron aime bien cette chanson à laquelle il a souvent fait
allusion sur ce forum. Je l'aime bien aussi parce qu'elle reflète très
bien l'esprit de Charles Trenet et ses tourments de l'âme sous un masque
allègre et pétillant .
Cette chanson, "Mon operette", je l'aime bien aussi rien que pour cette
phrase : "quand je repeins le ciel, c'est pour qu'il soit bleu"
Enfin, il y fait preuve d'une grande sincérité puisque, fait rarissime, il
y fait, en termes à peine voilés, une allusion directe à sa vie
d'homosexuel :
"Suis-je fou d’offrir parfois quelques roses à des anges?
Pourquoi n’aurais-je pas aussi
Le droit d’avoir un grand bonheur ainsi"
Alors, pour ceux qui ne connaîtrait pas cet opus méconnu de 1971, voici
déjà un avant-goût avec les paroles que, grâce à Summicron, je viens de
mettre en ligne :
Je trouve que c'est une excellent chanson, totalement méconnue de la
période CBS.
Pour l'anecdote, écoutez bien le début : il y a une allusion coquine, voire
grivoise, rare chez CT.
Mais il faut bien tendre l'oreille après : "...de jolies soubrettes
viennent m'embrasser
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