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....où l'on parle de Charles


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Posté le 10/3/2004 à 10:31

Note: le texte n'est pas complet




Posté le 9/3/2004 à 19:50

L'hôtel borgne

le lien vers le texte:

http://www.charles-trenet.org/hotel.html




Icon depicting mood of post Posté le 9/3/2004 à 13:09

Pour la petite histoire, j'ai regarde dans plusieurs livres et c'est encore dans le livre de sa mère qu'on trouve le plus de détails sur la vie de Charles Trenet dans ces années.
Charles Arrive au passage de la voûte en 1930, il est accesoissiste aux studio de cinéma de Joinville. Le soir il rentre tard, car c'est à cette époque qu'il commence à fréquanter Monparnasse et commence à y rencontrer des artistes de l'époque. Après que sa mère eu vu cette chambre dans un "hôtel borgne", elle s'est mis en tête de trouver un appartement ass ez Grand pour que Charles puisse habiter avec elle.
Elle trouve fialement un appartement au 47 rue La Fontaine, elle habite au sixième et une chambre indépendante au septième pour Charles. Finalement Charles accepte de venir habiter avec sa mère. Apparemment, se déménagement à du se faire très vite. Cequi prouve que Charles n'a pas du rester très longtemps dans la passage de la voûte, environ un an.
En fait, il n'a rencontré johnny Hess qu'à l'époque ou il habitait au dessus de sa mère. Il faut donc croire que la chambre du passage de la voûte, n'a jamais entendu le duo de Charles et Johnny. Mais il est pratiquement certain, puisque sa mère le dit : la chanson "l'hôtel borgne" est une réminiscence de l'hotel de la voûte.

La suite. Charles Présente Johnny Hess à sa mère en 1932, il l'a rencontrer dans une boite de Montparnasse, johnny est pianiste. Ils ont commencé à composer des chansons. Pour mieux travailler ensemble, ils se trouvent un studio vers la place d'alesia.
Pour la suite... Il serait sympa de faire un petit article. ça m'a donné envi d'en faire un .

------
Note du webmaster :

Vous trouverez l'article de Pascal ici :
http://www.charles-trenet.net/article.php?sid=73


[Edité le 12/4/2004 par Dominic]




Posté le 8/3/2004 à 22:36

J ai ma réponse concernant Henri Chenut, j'ai été lire les conversations du forum!




Posté le 8/3/2004 à 22:34

bon, merci 1000 fois, je pense que cette fois ci, j ai la confirmation de ce que je cherchais.
Il me manque juste une info: qui est Henri Chenut, qui a été contacté ces jours ci par Pascal?
Je transmets toutes ces infos dans qques jours à mon Conseil de Quartier qui sera, j'en suis sûr, très intéressé.
Je reste preneur de toutes informations concernant son séjour dans le 12e arrondissement de Paris et sa vie en général, entre 1930 et 1934.

Je vous tiens au courant.

Amicalement,

Sébastien




Posté le 8/3/2004 à 15:04

L'opte pour le passage

Car Mme Trenet mère parle de la rue comme étant "courte, étroite". Or, d'après mon plan de Paris, cela n'est pas le cas.

En plus, hôtel "borgne" comme dit la chanson et : "fenêtre ass ez grande donnant sur le mur d'en face" (p. 66)

Pour l'anecdote : CT était au second étage et le bordel au premier...




Icon depicting mood of post Posté le 8/3/2004 à 14:20

Je me suis souvenu que la mère de Charles Trenet parlait de cet hôtel dans le livre qu'elle a écrit avec son fils "mes jeunes années".
Effectivement je viens de relire ce passage, pour ceux qui ont le livre l'anecdote est racontée en page 64. Pour les autres qui n'ont pas le bouquin je peux recopier ici le passage non pas de la voûte, mais celui du livre qui nous interesse ;-)

Donc j'étais à paris (c'était en 1930 et c'est la mère de CT qui raconte). dès le lendemain de mon arrivée, j'allai voir Charles.
L'adresse qu'il m'avait donné manquait de précision : Au bout de l'avenue de Vincennes, rue de la voûte, un petit Hotel. (a noter que Charles occupa d'abord une chambrette à Montmartre, rue de Caulaincourt, puis il vint dans cet Hôtel de la rue de la voûte afin de se rapprocher des studio de Joinville ou il travaillait à l'époque).
Elle n'en finissait plus cette avenue de Vincennes ! Ou cours de Vincennes ? Et il y avait des rues à droite et à gauche ! Chercher ce petit Hôtel inconnu des agents de police ou qu'ils faisaient semblant d'ignorer, en marchant lentement, m'arretant à chaque coin de rue pour vérifier la plaque indicatrice, et par un froid de canard. J'aurais du prendre un taxi à la sortie de métro, place de la nation. Je n'y avais pas pensé, ignorante alors de ce quartier de Paris, de la longueur de l'avenue.
Enfin je vis inscrit sur une plaque à ma droite : rue de la voûte. Restait à trouver l'hotel. Ce fut facile, la rue était courte, étroite, un seul Hôtel y profilait son enseigne. Du premier coup d'oeil, j'en jugeait la classe. Mon coeur se serra. J'entrai. c'était propre, mais très primitif. Personne derrière le bureau de réception. j'attendi. très peu. La cloche de l'entrée ayant signalé une présence, je vis un homme, sorti comme d''une trappe - en vérité d'une petite porte se trouvant derrière le bureau - Qui, sans dire :"bonjour Madame", demanda :
- vous désirez ?
- Je viens voir MOnsieur Charles Trenet.
Lhomme - Le patron - me dévisagea :
- Il n'est jamais là dans la journée. Faut venir le soir, et encore, il se couche tard.
Mon interlocuteur m'éxaminait de la tête aux pieds. Il renifla, haussa les épaules, alluma une cigarette.
- Qu'est ce que vous lui voulez à Trenet ?
- Je suis sa mère.
Du coup l'homme devint méfiant.
- Sa mère ?
Il n'en croyait rien. J'avais 40ans, étais alors jolie fille, élégante, légèrement maquillée, enfin "sujet à caution", pour lui du moins.
J'insistai :
- J'aimerai voir la chambre de mon fils. Je lui apporte quelques petites choses - et mon adresse à Paris, mon numéro de téléphone.
Le patron décrocha une clé suspendue au tableau, puis, mi guoguenard, mi insolent :
- C'est au second.
Il fit une pause, grimaça un sourire :
- Le bordel, je vous averti, c'est au premier étage.
Je ne bronchais pas :
- Montons au second je vous prie.
Nous montames, le patron ouvrit une porte. J'entrai. Il me suivit et ne me lâcha pas d'une semelle tandis que je faisai le tour de la chambre, propre, bien simplette : Un lit de fer noir, verni, orné de quatre boules dorées. Les couvertures minces mais nettes, une table en bois blanc passée au brou de noix, cirée, deux chaises de même acabit, une armoire de vêtement que je n'osai ouvrir sous l'oeil inquisiteur du patron. Un radiateur tiedasse luttait contre l'humidité de l'air. Au dessus, une fenêtre ass ez grande, donnait sur le mur d'en face. Un stôre jauni, cra cra. effiloché sur les bords, l'ornait mélancoliquement...

J'espère que cette petite description de Madame Trenet pourra vous éclaircir d'avantage. Seul petit problème, elle parle de la rue de la voûte, mais vu sa description j'opterai effectivement pour le passage de la voûte. Ce livre étant sorti en 1978, elle relate la des souvenirs de 1930, et la mémoire joue parfois des tours pour ce genre de petits détails.
Henri Chenut de son coté m'a confirmer que c'était bien passage de la voute.




Posté le 8/3/2004 à 00:42

Bon, et bien je pense que nous avons la confirmation définitive ! Merci à Pascal donc, qui a le dernier mot ! A moins qu'il y ait des objections ?!
Pascal, peux-tu me dire qui est André Chenut ? (je ne suis pas un expert de Trenet, désolé!) Lui as tu bien parlé de la RUE et du PASSAGE de la Voute?

Aujourd'hui, cet hôtel est un hôtel social. Un projet immobilier, dont je ne connais pas encore les détails, prévoit une construction dans le passage, peut être la destruction de l'hôtel.
Il est probable que " l'hôtel borgne" fasse allusion à cet hôtel. Seule construction du passage de la Voute, il est situé au milieu d'escaliers qui relient deux rues. Les fenêtres de cet hôtel donnent sur un mur aveugle. L'immeuble situé en face n'a pas d'ouvertures sur le passage. Vous pouvez voir les photos en relisant un de mes messages précédents.

D'après les éléments rassemblés, Charles Trenet aurait vécu là entre fin 1930 et 1933-1934. Y a-t-il des événements remarquables le concernant pendant cette période? (chansons, ...)

Je vais en tout cas faire remonter ces informatons au Conseil de Quartier dont fait partie le passage de la Voute ce mois-ci, au cours de la prochaine réunion (ce Conseil de Quartier est composé d'habitants bénévoles, qui sont chargés de faire remonter les souhaits, revendications, propositions des habitants du quartier à la mairie d'arrondissement dont il dépend).
En fonction de la précision et de l'intérêt de ces informations, le Conseil de Quartier pourra faire des propositions ou au moins sensibiliser la mairie d'arrondissement. Le passage va être rénové, je suis sûr que cette rénovation peut avoir comme fil conducteur Charles Trenet (il y a notamment un projet de mur peint et le projet concernant l'hôtel, ainsi que d'autres améliorations comme la réfection des escaliers, de l'éclairage, le traitement des entrées du passage ).




Icon depicting mood of post Posté le 8/3/2004 à 00:18

D'après Henri Chenut, auquel je viens de téléphoner. Charles Trenet a en effet loger dans un Hôtel dans le passage de la voûte. C'est même avec Johnny Hess qu'il aurait partagé cette chambre à leurs débuts.
Madame Trenet Mère aurait également parlé de cet hôtel dans une émission dans les années 60, en disant qu'elle était venue voir son fils dans cet hôtel Parisien et faisant comprendre à demi mot que c'était un hôtel très peu respectable...
Etait-ce un "hôtel borgne" ? C'est peut être dans cette chambre qu'est née la chanson... Mais il est certain que quelques chansons du duo "Charles et Johnny" ont du naître en ce lieu.
Monsieur Chenut me dit être venu voir cet Hôtel il y a quelques années.




Posté le 7/3/2004 à 16:14

Parce que c'est une habitante du quartier qui pensait que c'était dans le passage, qui donne sur la rue! Il y a juste un hôtel dans ce passage. Je vais aller y faire un tour!




Posté le 7/3/2004 à 05:58

Le premier " est là par ereur.

Disons q'uen voyant l'image, ce type de bâtiment me fait penser à ce style qu'on retrouve aussi dans ma ville.

Mais ne compliquons pas les choses

Si on parle de la rue de la voûte dans le livre de Cavano, pourquoi aller chercher dans le passage ?




Posté le 6/3/2004 à 16:15

il y a si mes souvenirs sont bons, deux hôtels dans la rue de la Voûte, au 6 et au 61. Le 61 a été rénové récemment, par contre le 6 est en piteux état (vous pouvez voir les photos sur les pages jaunes).
Mais je pense que les deux pourraint dater du début du siècle sans problème. Quant à l'hôtel passage de la Voûte, même si il venait d'être construit en 1930, cela n'empêche pas que les chambres soient modestes et sans joie!
Quand vous dites "a une architecture des années 20 semble-t-il ou début 30", faites vous une citation (si oui, qui citez vous?) ou les guillemets sont elles là par erreur?




Posté le 6/3/2004 à 10:06

j'ai été sur le site

L'hôtel a une architecture "des années '20 semble-t-il ou début '30.

A l'époque de CT, c'était donc un hôtel neuf.

Or CT (dans le Cavanno, p. 119) parle d'un hôtel meublé, chambre modeste et sans joie, rue de la vôute.

Peut-être que l'hôtel a été démoli ?




Posté le 5/3/2004 à 01:36

Merci pour cette réponse rapide et précise!

Dans la citation, il s'agit de la rue de la Voute alors que pour ma part, je pensais qu'il s'agissait du passage de la Voute, qui débouche sur cette rue.

Il manque effectivement le nom de l'hôtel, mais il y en a très peu dans le coin (un dans le passage et deux rues de la Voute), et je pense qu'avec la date de construction des immeubles, on doit pouvoir retrouver le bon hôtel, car je crois que ceux de la rue de la Voute sont ass ez récent.
Le quartier dont je parle est bien celui décrit dans l'extrait cité. Pour ceux qui connaissent, il s'agit de la Porte de Vincennes, la rue de la Voute étant située derrière le cours de Vincennes, côté 12e arrondissement. Le passage de la Voute relie le cours de Vincennes à la rue de la Voute.

Pour ceux qui souhaiteraient visualiser l'endroit, je vous conseille d'aller sur le site www.pagesjaunes.fr . Dans la rubrique "Les Photos de Villes" sur la droite de la page d'accueil, sélectionnez Paris, puis tapez "Passage de la Voute". Vous aurez alors la photo du passage. avec les flèches sous la photo vous pouvez vous déplacer et faire demi-tour. Vous apercevrez alors l'hôtel dont je parle.

Je vous tiens au courant de la suite de mes recherches et du devenir de ce passage.

Cordialement,

Sébastien




Icon depicting mood of post Posté le 4/3/2004 à 20:24

Je ne connais pas suffisamment Paris pour vous éclairer. En revanche, Charles Trenet s'est confié en 1953 dans la série d'émission "Panoramique" de Pierre Lhoste. Cette évocation des souvenirs de l'arrivée du poète à Paris est également relatée dans l'excellent "Trenet, un siècle de liberté" du biographe Cavanno, probablement le meilleur de Charles Trenet.

Nous sommes fin 1930, début 1931 et voici ce que le futur Fou Chantant raconte :

"A mon arrivée à Paris, j'avais pris une chambre rue Caulain-Court, au rez-de-chaussée, chez une concierge. A 8 heures du matin, cette concierge venait régulièrement me réveiller : "M'sieur Charles, vous n'avez pas entendu la Savoyarde ?" me disait-elle. "Non !" répondais-je à chaque fois, persuadé qu'il s'agissait d'une femme venant dans le quartier vendre des fromages de chèvre. Je devais mettre des semaines à apprendre qu'il s'agissait tout simplement de la grosse cloche de Montmartre... Au bout de quelque temps, j'en eus ass ez d'être réveillé si tôt. Je déménageait donc pour aller habiter Porte de Vincennes. Pas vincennes ! Il y a une très grande différence entre la Porte de Vincennes et Vincennes : la porte de Vincennes, c'est encore Paris, et Vincennes c'est le jardin fleuri. C'est charmant Vincennes, mais lorsque j'habitais Porte de Vincennes, RUE DE LA VOUTE exactement, j'étais immédiatement relié à Paris et je prenais le métro jusqu'aux Champs-Elysées. J'habitais rue de la Voûte car le matin je me rendais aux Studios de Joinville où j'étais ass istant-metteur en scène, accessoiriste et homme proposé aux claquettes. Proposé, pas préposé... donc pas encore accepté !"

Plus loin dans son ouvrage, Richard Cavanno signale que Charles est resté "trois années (...) à faire repasser son linge par la patronne de l'hôtel (note du webmaster : le nom n'est pas mentionné, dommage !), Auvergnate à la moustache ombrée mais au coeur tendre... Trois années passionnantes, et passionnées."

Après, Charles emménagera dans une chambre rue La Fontaine, décrétée "plus centrale".

J'espère que ces renseignements auront pu vous aider. Curieux de nature, j'aimerais tout de même que vous nous fassiez part du résultat de vos recherches. Le quartier où vous habitez est-il bien celui qui est évoqué ici ?
Tenez-nous au courant.

Trenetement,
Votre webmaster - Dominic.




Posté le 4/3/2004 à 18:17

Une petite rectification: je voulais parler du PASSAGE de la Voûte et non pas de l'impasse. Désolé pour l'erreur...
Il y a un petit hôtel dans ce passage, au milieu d'un escalier (il n'y a rien d'autre d'ailleurs).




Icon depicting mood of post Posté le 4/3/2004 à 18:12

Bonjour,

Je viens de lire votre page consacrée à la biographie de Charles Trenet, étant à la recherche d'un renseignement le concernant, mais je n'ai pas trouvé la réponse à ma question.

J'habite le 12e arrondissement de Paris, et je participe à un conseil de quartier de cet arrondissement, qui réunit les habitants qui sont invités à s'exprimer sur l'aménagement de leur quartier.

Une habitante, sans certitude, nous a appris que Charles Trénet, à son arrivée à Paris, aurait séjourné dans un hôtel du 12e arrondissement, situé Impasse de la Voûte. Cette impasse va être rénovée et peut-être transformée. Nous souhaiterions pouvoir avoir la confirmation, par quelque moyen que ce soit, qu'il a bien séjourné à cet endroit, afin de sensibiliser la Mairie et de protéger éventuelement le lieu.

Je vous remercie par avance si vous pouvez me fournir la confirmation que je recherche.

Cordialement,

Sébastien FAVIER
sebastienfavier@hotmail.com



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