A la suite du message de Frédéric Sucre du 03.01.2011, j'ai réuni les
informations suivantes:
A la FNAC ce livre qui est paru le 01.09.2011, est disponible, le prix en
est 22,80 euro; et il y a un commentaire dont je détache ceci:
Voici 10 ans déjà que le grand Trenet nous a quittés. Aucun hommage ni
même une émission rétrospective sur petit écran, ni même une petite
compilation tribute. Non rien de rien - non, décidément Charles Trenet est
bien passé de mode. (...) Le raz de marée Gainsbourg, dont le génie aura
été d'avoir su si bien tout récupérer, lui aura été fatal! (...) Son jardin
extraordinaire, plein de y'a d'la joie, est désormais oublié par sa douce
France, les temps changent...
(Posté par une nommée Anne) FNAC.com
Amazon.fr, par contre, indique: Y a d'la joie, broché. ACTUELLEMENT
INDISPONIBLE.
Nous ne savons pas quand cet article sera de nouveau approvisionné ni s'il
le sera.
Y'a d'la joie, en effet!!
J'ai bien peur que cela ne soit pas très intéressant, et pour les Inédites,
je pense qu'il s'agit des titres figurant déjà dans Tombé du ciel, qui
sont parus chez Rozon et dont les enregistrements doivent rester dans ses
tiroirs... J'ai aussi quelques partitions d'inédites que j'ai achetées en
1995, Le cauchemar, Les chansons qui chantent, Le manège du temps, Rêves
presque oubliés. Je ne pourrai pas mettre ces textes sur ce Portail, car
puisque ce sont des inédits, notre cher webmaster risque d'avoir des
ennuis pour les Droits...
Il y avait chez Rozon aussi un texte : "Le Domaine des Esprits" mais que
l'on n'a pas voulu me vendre.
Pour éviter tout malentendu:
A la FNAC ce livre est encore disponible, ce qui n'est pas le cas pour
AMAZON.fr.
Chez ALAPAGE.COM on marque: Visuel non disponible - en précommande. Prix:
22,80 euro. Paru: 1.9.2011.
Aux éditions du Cherche-Midi, quand on tape C.Trenet Y a d'la joie, on
reçoit ce message: Aucun titre ne correspond à votre recherche.
Bizarre!
Ce livre a enfin paru ! « l’intégrale de ses chansons, 440 textes, pour
notre plus grand bonheur. »
J’ai acheter la version numérique. Il y a, comme on attendait, les textes
des chansons. Il y a aussi en avant-propos un petit texte inédit de Charles
Trenet, suivi d’un beau témoignage de Gérard Davoust, et après, des «
Regards sur Charles Trenet » : une collection de citations autour de
lui.
Pour les chansons dites inédites, peut-être je ne comprends très bien le
sens du mot, parce que certaines étaient sur les albums des années 90 avec
les paroles dans les livrets des CD, et certaines sont les paroles d’autres
qui ne sont pas inédites (Le cigale et la fourmi, Les corbeaux,
Verlaine). Certaines des chansons ont été enregistrées, mais on n’a pas
imprimé les paroles, comme Les petits punis &c et il y a aussi
les paroles d’autres auteurs comme Rien ne peut nous séparer et
Mourir au printemps. Il y a en plus des chansons de Charles et
Johnny, celles enregistrées par d’autres, celles enregistrées mais qui
restent dans les tiroirs rozonien, et quelques unes peut-être jamais
enregistrées.
Après les textes, Jacques Pessis racconte « des petites histoires autour de
quelques chansons ». Je sais qu’il existe plusieurs versions du genèse de
quelques chansons, donc ce n’est pas surprenant que ces histoires diffèrent
des fois des versions que j’ai lu ailleurs. Mais on y trouve aussi parfois
des erreurs. On lit : « Trenet n’enregistrera Vous qui passez sans me
voir qu’au milieu des années 1960. Il ne l’inscrira jamais à son
répertoire scénique. Il ne l’interprétera qu’à la télévision, à de rares
occasions. » Selon l’intégrale Frémeaux, l’enregistrement était en 1954, et
il l’a chanté régulièrement sur scène à cette époque (Elisabeth Duncker l’a
souvent entendue).
Enfin, il y a la transcription d’une conférence de presse en mai 1999, à la
sortie de l’album « Les poètes descendent dans les rues ».
quote:Tendres, légères,
facétieuses, farfelues, elles ont parfois plus de corps qu’il n’y parait et
elles ouvrent les fenêtres à la rêverie et à l’imaginaire que l’on prolonge
à loisir. Comme leur musique incite à bouger le corps, les paroles des
chansons de Charles Trenet stimulent l’intelligence. Il taille des
raccourcis fulgurants et découpe des tranches de vie si minces qu’elles
posent autant de questions.
À propos de Vous qui passez sans me voir, Elisabeth nous offre
quelques pages de son programme de la tournée de 1957 :
En ce qui concerne le livre, les erreurs de Tombé du ciel sont
reproduites ici. Donc on trouve « Le suc est son brave » dans Coucher de
soleil à Cannes ; les paroles de Si vous pleurez commencent
après le deuxième refrain…
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Posté le 13/12/2011 à 17:03
Posté le 14/12/2011 à 16:00
Posté le 17/12/2011 à 17:05
